1970. A l'apogée du mouvement beatnik, de la musique rock, des drogues psychédéliques, et de la libération sexuelle, le cinéaste Jean-Michel Barjol enferme sur un immense plateau de cinéma, pendant trois jours et trois nuits, deux cents personnes: acteurs, musiciens, peintres, acrobates, décorateurs, techniciens, censés vivre là leurs dernières heures.