Une dissolution qui fait débat : les Soulèvements de la Terre, ce mouvement emblématique de la radicalisation de l’écologie, qui s’est par exemple illustré à Sainte Soline il y a 3 mois et le week-end dernier dans les Alpes, sera bien dissous demain en Conseil des ministres… Est-il normal dans une démocratie de faire interdire un mouvement qui appelle au sabotage et à la désobéissance ? Ou dangereux de criminaliser des militants qui affirment agir au nom de l’urgence climatique ?