Une première partie plutôt fidèle à l'œuvre de Doyle et un déroulement qu'on retrouvera dans le téléfilm Granada. La seconde partie sans Cushing est longuette, voire ennuyeuse. Nigel Stock n'impose pas le personnage de Watson ; il est pâlot comparé aux deux acteurs de la Granada et, par conséquent, cette fin d'épisode est quelconque. La rencontre de Watson, très nigaud, avec Stapleton et sa sœur s'éternise et celui qui s'avèrera être le méchant est peu crédible comparé à la version Granada. Cette première partie se termine par Watson, apeuré et détalant comme un lapin pour se réfugier à l'intérieur de la demeure après avoir entendu le chien de la lande…