Le 31 mars 2003, Chantal d'Amato et Audrey, sa fille, sont sauvagement assassinées dans leur maison. Mais les traces ADN retrouvées sur les lieux du crime ne correspondent à personne. Pris en flagrant délit de viol près d'Aix-en-Provence, Ponce Gaudissard, un violeur récidiviste, intéresse d'autant plus la police qu'il travaille dans la société de transports qui employait Audrey d'Amato. La police découvre une lettre envoyée à la société de transports du chauffeur de bus. Le courrier, signé de la main du Procureur, exige des renseignements sur Gaudissard pour indemniser l'une de ses anciennes victimes. C'est Audrey d'Amato qui a traité le dossier. En 2008, le procès s'ouvre avec un dossier sans aveux ni preuves matérielles, mais beaucoup d'anciennes victimes qui défilent à la barre. Ponce est condamné à la perpétuité en appel.